{ 서울 Affairs
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Next Gen leader {{ Young Ho

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Park Young Ho
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MessageSujet: Next Gen leader {{ Young Ho   Next Gen leader {{ Young Ho EmptyDim 9 Aoû - 22:47

    PARK YOUNG HO LIFE & LINK'S
    " You want know me ? "


    Next Gen leader {{ Young Ho F2kk0z■ JUST ME
    ■ Nom : PARK
    ■ Prénom : YOUNG HO
    ■ Âge : 28 ANS
    ■ Date de naissance : 29/05/1982
    ■ Rôle : Chef des NEXT GEN
    FICHE
      ■ A savoir ::


      Manipulateur - Acharné - Ambivalent - Intrépide
      Meneur - Attentif - Fort - Loyal





Dernière édition par Park Young Ho le Dim 9 Aoû - 23:43, édité 2 fois
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Park Young Ho
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MessageSujet: Re: Next Gen leader {{ Young Ho   Next Gen leader {{ Young Ho EmptyDim 9 Aoû - 22:52

    ACTE I

    Jeux, Alcool, Décadence.

    Imaginez ces rues où les gaz d'échappement noircissent l'air d'un quartier cubain. Voyez ces gosses d'une dizaines d'années jouer aux caïds avec leur sweat trop grand et leur cheveux coupés trop courts. Observez ces filles de seize ans à peine racolant sans vergogne les passants pour peu que leur voiture trahissent le montant de leur compte en banque. Tout le monde sait ce qui se passe, et tout le monde se tait parce que dans ce monde c'est le secret qui garde en vie. Vous connaissez pour l'avoir entendu dans les films ou pour avoir lu dans les livres, la réputation de ces villes de Floride.

    Drogue, Sexe, Mafia.

    Les marchés les plus crapuleux, y sont sûrement dévoilés comme nul part ailleurs ; sans doute ai-je hérité de ces enseignements, de ce qui se dégageait des alentours. Les crimes sont sanglants, brutaux, ont en retient les atrocités comme un exemple et on la ferme plus que tout pour éviter de finir comme ces types dont la langue était un peu trop bien pendue. Dans cette univers on ne reconnaît en ces semblables que ceux dont l'espérance de vie peut dépasser la sienne ; les autres sont des faibles. Survivre est un mot maître, vivre est une promesse qu'on vous fait en vous pointant d'ors et déjà l'arme sur la tempe. Si vous avez la cuirasse pour ; vous avancerez un peu encore ; sans ça qui sait où vous finirez ? Dans les Everglades peut-être, en guise de déjeuner pour les crocodiles ; ou peut-être dans votre voiture coulé au fond d'un canal …

    Meurtre, Famille, Respect.

    Quand on grandit à travers un monde de destruction c'est triste à dire mais bien peu accepte de lui tourner le dos. Les autres y entrent, s'y jettent à corps perdu parce que quoi qu'on en dise la cupidité est plus forte que toute la raison qu'on prétend posséder. Posez vous ; votre vie vaut-elle plus que ces millions qu'on vous promet en échange d'une entrée en Gang ? Cela vaut-il la peine de voir sa famille se faire descendre avant d'accepter de coopérer avec les plus forts ? Non ! Assurément … Leur tourner le dos, c'est voir passer le temps avec la certitude qu'on vous piste et qu'on attend qu'une seconde d'inattention. Mais la famille existe ; on respecte les plus vieux, on ne tient pas tête aux Boss, on baisse les yeux, on rase le sol parce qu'on sait que ces types on suivit et tracé le chemin bien avant nous. On ne balance pas ! C'est un crime pire que le meurtre ! La solidarité dans les Clans ou les Gangs c'est sacré.

    Commandement, Jugement, Vengeance.

    Je suis un chef, comme tant d'autre avant. Jeune, ce qui me rend sûrement impatient. Je commande une « armée » à mon image. Je ne veux pas des faibles, ceux là n'ont qu'à s'enterrer vivants ! Si tu me suis accépte de te salir à ma place ; un jour peut-être que tu y arriveras. La Mafia est une société cruelle qu'on prétend comprendre sans même la connaître. Regardez ces flics qui vous arrêtent l'air dédaigneux et ravis de vous foutre entre quatre murs ; demandez leur ce qu'ils pensent, la réponse est toujours la même : Ils rendent Justice. Mais ils rendent la Justice de leur État ; nous, nous rendons simplement la notre ! Parce que nos action sont déjà trop hautes sur l'échelle du tolérable en matière de délit, les représailles sont toujours pires ; c'est comme ça pour tout ! Pense-y toi qui lis ces lignes ; quand tu as ressenti le besoin de te venger ; n'a tu pas souhaité faire plus mal encore ? C'est normal, personne ne te blâme ! Tu es seul juge de ta douleur ; et tu la rendras comme tu l'estimes légitime. Ne baisses pas la tête en me le racontant, en l'avouant. Je comprendrai, je sais déjà ! Partage ta haine, on est plus dangereux encore quand le nombre est là !

    Pouvoir, Rivalité, Obéissance.

    Le pouvoir vous prend pour ne jamais vous lâcher. Les hommes avides de cette carte de destruction sont morts avec le titre de tyrans. Vouloir dominer, contrôler. Se prendre pour Dieu, mais finalement devenir Diable. L'envie amène à la rivalité ; vouloir ce que l'autre possède ; la base de la guerre. Le fondement même d'un concept simpliste : Si tu veux quelque chose alors va le prendre ! Et si tu veux le prendre à quelqu'un écrase le. Ça semble facile, mais tout se paie, parfois d'une vie ou deux. Triades Chinoises, Yakuza Japonais, Mafia Cubaine, Italienne … Tous on ce point en commun : Un pouvoir, différent pour chacun ; des règles à suivre. J'ai les miennes, comme mes prédécesseurs, comme mon père avant moi … Ils obéissent, ils suivent les ordres, donnent leur existence et se dévouent. Le Pouvoir sur les autres ouvre des portes qu'on ne referme jamais ... J'en ai déjà passé beaucoup et sans doute serait-il bon, de les rappeler un peu.

    ACTE II

    Je me souviens de lui ; le visage terreux, l'oeil noir et vif. Coréen exilé dans les quartiers les plus pourris de Miami il avait du se cacher pour échapper à la police locale et aussi loin que je me souvienne ; je n'entend dans ma petite enfance que les cris épuisés de ma mère hystérique devant cette situation devenue insupportable. Il hurlait en réponse, parfois levait la main sur elle mais le regrettait vite ; la retrouvant avec mille pardons au lèvres. C'était mon père, un homme froid, dangereux et pourtant porteur d'un coeur sincère.

    J'avais un frère aîné, un sale gosse perturbateur qui déjà bien jeune s'amusait à mes dépends, trop à mon goût. Enfant, je le regardais partir ; avec ses copains me faisant cruellement sentir que je n'était pas de sa bande. Ça fait mal sur le coup mais après on se résigne ; on fait abstraction et on apprend que dans ce bas monde, c'est chacun pour soit. Je l'ai comprit tôt ; et tandis qu'il s'amusait de ses larcins, ce cher frère détestable ; moi je préparais sa chute …

    Ma mère commença les antidépresseurs, délaissant pour de bon un rôle de femme de maison qu'elle ne tenait déjà que peu. Je me revois passant la tête à sa porte de chambre, elle fixait le vide des heures tandis que dehors, le paternel lui remontait la pente de sa condition pour le moins désastreuse. Depuis la fenêtre de la vieille maison j'entends encore le son si typique des rues ; je revois les enfants de mon âge jouer, insouciants. Encore un peu trop jeunes pour comprendre ce qui se tramait vraiment quand il fermaient les yeux le soir. Je souriais dans leur ombre parce que moi ; comparé à eux j'avais comprit et je refusais bien de me laisser avoir à ce jeu là ! C'était simple à pleurer ; il fallait seulement comprendre que la force sans l'esprit n'est qu'un piège à rats sans appât … Inutile !

    Elle devint un légume, ridée avant l'âge à cause de ces crises de nerfs. Quand elle partait dans ses délires elle devenait si violente ; j'avais peine à croire que c'était cette folle calqué sur le modèle d'une femme qui m'avait mit au monde. Je revois le encore le cendrier en porcelaine jeté à travers la pièce pour m'arriver en pleine figure ; je sens quelques fois encore la morsure froide de cet objet qui m'ouvrait le front. Elle me fixe alors, se rendant compte de son geste et tombe à genoux devant moi, pressant entre ses bras trop minces le garçon de douze ans que j'étais alors. Elle s'excuse, se lamente, je ne trouve pas un mot pour parler à cette femme si pathétique mais qui malgré tout restait ma génitrice. Maman, je porterais toujours pour toi un respect impossible à entacher.

    Petit à petit, la situation a changer. Mon père quoi qu'on ait pu en dire de ça et là était un fin limier ; sachant toujours trouver la bonne affaire, repérant les failles pour mieux vous faire écrouler tout un fondement. C'était sous ce modèle d'homme que j'ai évolué ; aux côtés de cet aîné de plus en plus ridicule. Je souriais toujours quand il me tournait le dos, mais jouais l'indigné, le capricieux pour le faire plier sans succès. Je savais d'avance qu'il refuserait, mais en croyant que j'avais besoin de lui il ne pouvait pas me soupçonner de devenir ce qu'il redoutait le plus : quelqu'un qui le dépasse.
    Déménagement dans une banlieue bourgeoise. La maison est belle ; spacieuse et ses murs blancs reflètent si bien la lumière du soleil que s'en est bizarre pour moi n'ayant connu que les bâtisses que la poudre et la graisse ont noircies ... Ma mère reprend vie, c'est tellement bête de redevenir quelqu'un par ce simple fait. Je l'entend le soir qui s'inquiète de mon avenir avec le paternel. Je ris, soyez tranquilles mon futur est déjà entre d'autres mains que les vôtres ! Les hommes de mains rappliquent, ils se pressent pour rejoindre ce nouveau baron du crime. L'homme que je succéderais un jour à ma propre façon ; je le décide dés lors …

    ACTE III

    Une révélation, un commencement ; la scène défilera encore longtemps dans ma tête comme à la seconde. Je peux la décrire ; vous dire ce que j'ai ressenti à la seconde prés …

    Tu as peur ; ça crève les yeux à un point que tu ne peux même pas imaginer. Ta position est assez pitoyable je dois dire ; j'en aurais presque pitié si tenté que ce sentiment puisse être perçu chez moi ! Tes dents claquent ; tu ne t'y attendais pas … Et après quoi ? Me feras tu le coup de tant d'autre avant toi ? Grand frère … Regarde toi assit face à moi avec cet air abrutit ! Regarde encore avec hébétude le canon de cette arme qui te vise alors que tu ne me voyais même pas capable de couper un citron en deux sans me blesser. Tes moqueries ; tes insultes et tes illusions sur le cadet que tu crois benet te reviennent en pleine figure et ce sentiment qui éclaire ton visage me fait sourire. Tu le déteste déjà ce sourire pas vrai ? Parce que tu as comprit que je t'avais dans la main ! Tu es un chien à ma botte ; mais lèche moi les pieds si tu veux ça ne changeras rien au final ; tu ne vaut même pas un animal de compagnie …

    Ils nous regardent, tous, voit les yeux de notre père qui ne peut même pas se désoler parce qu'il sait depuis longtemps quel bon à rien tu es. Tu ne sers pas, tes petits coups en douce ne sont que du vent rependu sur des années alors que moi en trente secondes j'ai engendré un ouragan. Ces types ne savent pas ; eux non plus ne comprennent pas comment un gosse qu'ils ne voient que deux ou trois minutes par jours puisse faire ça ; comment je peux arriver à te viser sans ciller à quinze ans. Regarde moi franchement ; c'est la dernière fois. Parce que même si tu es plus stupide que tous, tu as comprit une chose : Si tu acceptes de baisser les yeux face à moi maintenant c'est que tu ne mérites même pas d'être à mes ordres. J'entends la voix de notre mère, elle me hurle de t'épargner ; elle me supplie avec tant d'insistance que j'en ai honte pour toi. Je pars dans un fou rire qui leur fait froid dans le dos, puis cesse brutalement de m'esclaffer, ça ne les rend que plus mal à l'aise. Mon arme se baisse les long de ma jambe, je te souris largement, détestable. Je te laisse croupir dans ta déchéance ; tu en souffriras plus. Parce que ça voudra dire que tu n'auras pas eu l'intérêt suffisant pour que je me salisse les mains. Tu t'éffondres quand je te tourne le dos, je comprend tes larmes ; je sais comme tu dois te sentir inutile et sale. Et même si tu l'espères, je ne reviendrai jamais vers toi : C'est ma revanche ; mon premier pas ; ma première porte ouverte en grand.
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Park Young Ho
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MessageSujet: Re: Next Gen leader {{ Young Ho   Next Gen leader {{ Young Ho EmptyDim 9 Aoû - 22:52

    ACTE IV

    Je ne l'ai pas revu depuis, j'imagine qu'il est allé s'expatrier le plus loin possible ; franchement je m'en moque. Il est sortit de mon esprit depuis un bail. Le Père m'avait vite offert un poste avec sa clique. Ce n'était pas mal pour un début ; mais ces façons de faire … C'était d'un banal ! Un jour j'aurai changé ça, assurément …
    Quand ses actions commencèrent à faire parler de lui, il quitta le pays avec moi ma mère et ses hommes quelque part en Chine. C'était un ami d'école à lui qui nous hébergeait alors. Un type bizarre, mais j'ai pas mal apprit à son contact ! Notamment le maniement des armes autres que l'arme à feu, j'ai pu utiliser ce qui me tombait sous la main. Je peux vous le décrire au détail prés ; il était du genre marquant ce fameux ami ! Un visage émacié et les yeux formés d'une amande prononcées. Son regard était d'un vert métallique, s'accordant à sa peau blafarde et sa mâchoire osseuse. Il émanait de lui un charisme non négligeable mais aussi quelque chose de dangereux. Il l'était ; bien entendu ! Mais j'ai prit ses enseignements comme une chance. Mon corps à souffert sous ses coups mais j'ai trop vite apprit à lui rendre. Ça lui plaisait ; sûrement était-il de la même espèce que moi. Son sourire, tenant plus d'un rictus donnait sans arrêt une étrange sensation ; comme s'il nous poussait à nous éloigner, comme le calme avant une tempête. Mais je l'appréciais comme ça.

    J'ai connu là-bas un marché différent. La drogue est importante mais la prostitution a son pesant d'or dans la pègre. J'ai vu ces filles qui le voulaient ou non se donner à des types trois ou quatre fois plus âgés qu'elles, c'était à vomir. L'humanité est répugnante et plus l'homme le sait plus il s'y vautre par simple curiosité. Il ne faut pas s'y attarder, on ne pourrait pas accepter les jours qui passe en prenant sur soit le malheur des autres ; il vaut mieux se préoccuper de sa tête ; c'est au moins sur de rapporter quelque chose ! La Chine est un pays unique. Je l'ai aimé pour certains aspects, détesté pour d'autres ! Personnellement je ne suis pas prés d'y retourner en vacances. Mais j'y ai gagné beaucoup ; comme j'ai prit autant. Là-bas un meurtre semble être si commun. On ne se retourne de rien, on baisse les yeux plus encore qu'ailleurs. J'ai méprisé leur peu de respect d'eux même ; à toujours se taire pour éviter les ennuis. Quelques jours après mon arrivé j'avais rencontré un métisse Chinois et Japonais. Un artiste tatoueur qui oeuvrait dans un quartier de night-club et autre sex-shop plus insalubres que jamais. Il avait de l'or dans les doigts, et je l'ai naturellement choisit pour me décorer le cou d'un dessin tribal, côté gauche de la nuque ; avant qu'il ne me décore d'un tigre noir dans le creux des reins.

    Nous sommes resté environ cinq ans là-bas. Et finalement retour en Corée du Sud. Ha la la … retrouver ses racines dit-on. Admettons. Je ne savais pas trop ou je tombais mais c'était quand même … chez moi si j'ose dire. La santé de mon père a fini par devenir instable et il a commencé à enchaîner les séjours à l'hôpital pour des pneumonies ou encore des infections pulmonaire. Ce n'était plus qu'un cadavre ambulant incapable de gérer la mafia qu'il avait pourtant mené avec brio pendant plus de vingt deux ans. Je ne lui ai pas demandé, il a comprit seul, qu'il était temps pour lui de passer la main. Devant ses hommes, il m'a donné les rênes d'un groupe avec de solides positions. Trop peu pour moi ! J'en voulais d'avantage et l'ai fait comprendre. Sûrement trop clairement pour certains mais ceux là ne sont plus là pour vous en parler ! Les plus anciens ont prit leur retraite, leur façon de faire ne collait plus du tout avec mes idées ; je trouve qu'ils ont bien réagit au moins. Savoir reconnaître qu'on ne peut pas faire une chose est louable ! Plus que de s'en vanter pour finalement se planter en beauté !

    J'ouvrais alors des passages neufs ; j'ai causé des failles profondes dans des rangs prédéfinis et j'ai écrasé les doutes. Ce n'est pas qui m'aime me suive ; c'est simplement suis moi ou dégage ! Je ne fais pas dans le juste milieu ; je ne l'ai jamais fait ! Marche ou crève ; une devise et un moteur d'existence. Ne tenait qu'aux miens de marcher dans mes pas …

    ACTE V

    Next Gen. J'ai nommé notre Mafia ainsi. C'est nous la nouvelle génération ; les nouveau venus dans ce monde de dingues. Seoul est une ville intéressante ! Avec ce que je sais, ce que j'ai appris je pense que ma façon de faire à dû en déranger pas mal. Surtout les pionniers du coin ! Je ne pense pas connaître leur chef, ou alors je l'ai croisé sans savoir qui il était. Cependant je ne pense pas ! On se reconnaît dans notre genre …

    J'ai mon réseau en tout et pour tout. Je sais qui trouver pour faire quoi ; où trouver les meilleures armes à prix le plus bas possible. Il nous fallait cependant un plaque plus conséquente que la simple maison de famille de mon père. C'est que j'ai rapidement pu recruter des gens à mon image ; seulement il fallait bien les caser quelque part et par dessus tout, je voulais aussi vivre ailleurs qu'avec mes parents. Je voulais quelque chose qui m'appartiendrais et je suis tombé sur cet immeuble à Itaewon. Le quartier était assez bas au niveau des prix et j'avais trouvé là une affaire sans précédant. On a démarré pour de bon là-dedans à peine deux mois après ma reprise des hommes. Je lui ai laissé son aspect délabré, ça éloigne les curieux mais dedans il faut y être entré au moins une fois pour savoir que tout le confort est donné à mes employés. Je ne néglige rien ! Et le temps passa, avec notre arrivé fracassante rependue comme une traînée de poudre dans Seoul. On s'est attiré les représailles des Anciens, logique ils n'aiment pas beaucoup que je vienne marcher sur leurs plats de bandes ! Mais que vous dire ? Ça m'amuse, ça me plaît ! Au fond je crois que j'ai toujours aimé gêner le monde dans la lumière comme dans l'ombre !

    Niveau social ? Cette question m'a toujours fait sourire ! Franchement vous me voyez passer mes nuits seuls à me lamenter sur mon triste sort vous ? Non ! Je suis plutôt bel homme, j'en assume le poids si tenté que ça en soit un et je sais bien que pas mal de femmes sont prêtes à tenter le Diable ! Des nuits … Ho j'ai arrêter de les compter, je les passe rarement sans charmante compagnie ! D'une seule fois cela va de soit ! Je n'ai jamais été régulier dans mes relations sexuelles je dois dire, que je n'aime pas qu'on essaie de connaître ; de savoir comment je fonctionne. Je ne veux même pas qu'on me rappelle les fois précédente ; je suis une homme d'avenir. J'avance sans me retourner …

    Il n'y a qu'une personne qui a partagé mon lit assez longtemps mais l'avantage c'est que lui n'attend rien de ma part. Peut-être un peu de réconfort, une attache parce qu'il est seul sans doute. Mais il ne veut pas en savoir trop, il me prend comme je suis au jour le jour, subit mes humeurs un jour plaisantes les autres massacrantes … C'est un garçon un brin mystérieux finalement. Je ne vous ferez pas penser que je suis un héros parce que je l'ai sortit des rues où il gagnait une misère, ce n'est pas mon style. Mais je n'ai pas su le laisser là. Il m'a semblé capable de beaucoup et il le prouve actuellement.

    C'était une nuit d'été affreuse. Un de ces soirée où la sueur vous coule le long des reins et vous accroche tout les vêtement à la peau comme du scotch. J'avais eu plus tôt la mort de trois de mes hommes sur les bras. Sèchement si je puis dire : une seule balle en pleine tête. Méthode à l'ancienne. Mais c'était ces jours où un rien vous fout de sale hurleur, et le tueur de ces hommes était déjà mort pour moi ! Puisque je me déplaçais en personne justement pour lui crever les yeux avant de le laisser sécher depuis un pont pendu par le pieds. Enfin, je prévoyais de faire ça ! On ne touche pas à ce qui m'appartiens sans avoir la certitude que je vais vous tomber sur le coin du nez avec la note plus que salée de vos méfaits à mon encontre !

    Sa voiture était garée bien en évidence devant un night club particulier. Un salon de massage et maison close pour gros riches couvert par l'enseigne plus ou moins rentable et propre d'une boite de streap. Lunette sur le nez, j'entrais là dedans comme dans un moulin. C'était à se plier de rire de voir si peu de sécurité malgré les temps qui courent ! Le patron devait être un peu trop assuré de la force des videurs plus occupés à draguer qu'à garder mais qui s'en souciait là à cet instant ?

    Je slalome entre les prostituées, passe aux pieds de types deux fois comme moi mais avec j'en étais sur, le cerveau évincé par la masse corporelle. J'entends sa voix, mécontente à travers une porte close après ce couloir réservé au V.I.P. Il râle, va savoir sur qui. Gros porc insignifiant qu'il est il aura bientôt d'autres raisons de tempêter que ce qu'il a actuellement. La porte n'est pas verrouillée ; à croire qu'il est carrément insouciant … J'en tourne la poignée, le découvre presque nu , les mains trop affairées à malmener un jeune masseur ne voulant visiblement pas s'abaisser à satisfaire les envies précaires de Monsieur. Ma voix sort comme une menace ; mais c'est un arrêt de mort depuis longtemps pour lui.

    « Ben alors tu n'est pas un assez bon coup pour qu'on vienne en redemander ? Faut que tu t'abaisses au viol pour pouvoir te faire quelqu'un ? Vire tes sales pattes et retourne toi !»

    Je croise son regard, il s'apprête à parler mais l'automatique que je tiens à deux centimètres de son nez semble lui en avoir coupé l'envie. Je lui rafraîchis la mémoire, concernant le sang de mes hommes qu'il a sur les mains et lui annonce juste qu'il n'a plus que deux secondes à respirer. Le coup part, le sang m'arrive en pleine figure tandis que lui s'écroule. Ses gardes arrivent, trop tard et ils subissent le même sort. Un videur aussi et finalement, tous préfèrent évacuer. Au total … Peut-être une dizaines de types. Je n'ai pas vraiment compté et je m'en balance ! Je range mon arme à ma ceinture, et croise les yeux du jeune que j'avais indirectement sauvé de l'humiliation. Je lui avais montré un massacre mais bon ; au moins il s'en tirait sans avoir eu à subir le corps gras et indélicat de ce truc gisant désormais là sur la moquette. Les sirènes hurlent, je le prend par le bras et l'entraine dehors. Tiens, les flics sont rapides ce soir. Ça m'a amusé ; dire qu'ils ont toujours trois lunes de retard d'ordinaire …

    Je sors une cigarette, l'allume et lui jette un regard simple. J'aime sa façon de me regarder sans me craindre, cet air à la fois fasciné et lassé. Quelque chose qui dit « tu n'es pas le premier dans ce genre que je croise » J'aime cette franche détermination qu'il a à me dévisager de la sorte sans faillir. Je scrute ses yeux comme argenté au clair de lune. Il y règne une certaine sagesse. Je sais déjà qu'il ne peut pas mentir. Ça me plaît ! Quelques mots d'usages. Et la phrase tombe, naturelle.

    « Ça te tente de bosser pour moi ? »

    Il est mon espion attitré à présent. Sa parole vaut celle de milles témoins. Je le connais assez ; il ne me mentira jamais de sa vie. C'était il y a deux ans ; il n'avait que dix-huit ans. Il n'a pas fallut longtemps pour qu'il rejoigne mes draps, et je dois avouer que c'est devenue une habitude. Notre relation est étrange, peut-être qu'il est le seul à me comprendre. Peut-être qu'il est le seul à se foutre de ma vie. Peut-être qu'il ne cherche même pas à savoir pourquoi il vient me retrouver ou pourquoi je le laisse m'approcher. Sa présence est agréable et tout le monde sait qu'il est mauvais ; très mauvais même de l'approcher ! Ce n'est pas un scoop, toucher à ce qui m'appartient coûte cher !

    Je ne m'attarderai pas plus ; vous en savez assez pour vous faire votre idée de moi !
    Aimez moi ou non ; haïssez moi ou méprisez moi je vous laisse seul juge.

    Ha … Bien sur, tout ça reste entre nous n'est-ce pas ? Non ne vous en faites pas pour l'arme braquée entre vos deux yeux. Elle n'est là que parce que j'aime que les chose soient claires … Vous n'êtes pas de mon avis ?


Dernière édition par Park Young Ho le Mar 11 Aoû - 18:11, édité 1 fois
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    " Wanted {{ Relations "


■ IN FIRST ::

:: ■

■ AFTER ::

:: ■


U.C

    " Everyday In My Life "


    Next Gen leader {{ Young Ho 33nl289
Kyung Sang Min
Mon Amant, mon masseur et mon espion. Sincérement, je me demande pourquoi je céde en tout point quand ça te concerne ! Tu me fixes avec cet air si innocent alors que je sais bien que tu es loin de l'être et je te donnerai un morceau de la lune si ça pouvais te faire plaisir !! Tu te frottes à moi comme un chat en manque de caresses de la main du maitre et je ne réfléchis pas pour te rendre l'attention que tu m'as porté jusqu'alors. Je ne suis pas d'un naturel aimable mais tu encaisses mes états d'âmes sans ciller, toujours avec un certain calme qui t'es propre. Je ne vais pas te dire je t'aime, je ne sais pas aimer ; mais tu m'es précieux et tu le sais. Préviens moi de la moindre embrouille et je serai là !

U.C
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